
Ce que j'aime chez ce london boy, c'est l'absence totale de concept. Tout n'est question que de fascination et de possession : "Je dessine ce qui me fascine et ce que je dessine m'appartient".
Une démarche ultra simple comme celle des enfants - faussement sages - ( dont je faisais partie ) qui dessinent en secret leurs "mondes rêvés" dans leurs chambres.
La feuille de papier est un simple espace de projection à fantasmes. Plaisir quasi-onaniste du dessinateur.
Je n'ai pas encore trouvé l'image sur le net mais c'est un dessin en couleur qui m'a attiré l'oeil : un flacon "n°5 de Chanel" entouré de trois femmes "glamour à mort" : trois créatures très YSL rive gauche rousses voluptueusement entourées autour du flacon. Un dessin en couleur que j'aimerais bien posséder. A suivre !
En attendant, une recherche sur le net m'a montré que je n'étais pas tombé bien loin avec ma théorie sur cet artiste : la recherche pure du plaisir.









http://www.heraldst.com
http://www.galerieperrotin.com/artiste-Cary_Kwok-44.html

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